Vladimir Delej
Messages : 13 Ville : emerald Dons : prendre les traits du bélier
| Sujet: vladimir anatolievna delej ▬ the passenger [terminé] 01.12.12 21:32 | |
| PAINT IT BLACK vladimir anatolievna delej
| ▬ Nom : Delej ▬ Prénom : Vladimir ▬ "Nickname" : Vlad, Dim parfois. ▬ Date de Naissance : le 30 mars ▬ Âge : 22 ans ▬ Nationalité : Américaine (d'origine russe) ▬ Statut : Vagabonde |
I LOOK INSIDE MYSELF and see my heart is black ღ Signe Astrologique : Bélier (... eh oui) ღ Groupe Sanguin : A- ღ Chiffre Chanceux : 8 ღ Un mot pour la décrire : le Berserk.
ღ Classe Sociale : Défavorisée ღ Piercings : Sur la langue seulement, ça aide pour... mh. vous savez. pour. pour manger des glaces. ღ Tatouages : Non. ღ Autres distinctions : Fumeuse, influencée par la culture chinoise, porte des lentilles blanches.
I SEE MY RED DOOR and it has been painted black ღ Physique : Vlad est à la fois perçue et inaperçue. En fait, en tant que silhouette, elle n'attire pas l'attention : taille moyenne, poids moyen, formes au bon endroit... dans la rue - sauf quand elle a les cornes sorties, évidemment - on ne la verra que comme une fille lambda, emmitouflée dans une de ses grosses écharpes tricotées et dans un blouson vert kaki informe, un peu sautillante et parfois bruyante, mais sans plus. En tant que personne, elle marque un peu plus : Dim se sert des baguettes qui tiennent son chignon pour manger, Dim porte des lentilles blanches et fait les gros yeux aux enfants, Dim ne porte pas grand chose sous son blouson, et puis, d'ailleurs, Dim ne porte pas grand chose sous son pas grand chose. Elle est connue pour ses gants en cuir, sa voix grave, et pour la transparence de ses expressions. On la croise rarement accompagnée.
ღ Psychologique : C'est à ce moment là qu'on se rend compte que cette chère Vlad a grandi aux USA et non dans la si douce patrie de ses parents biologiques. Impulsive, autoritaire, persuadée que chaque parcelle de terre sur laquelle elle pose le pied lui appartient, elle n'accepte rien tel quel et est toujours sur la défensive. Sa combativité s'explique essentiellement par le fait qu'elle s'est toujours battue dans la vie, que ce soit contre le destin ou contre les gens autour d'elle. Mais malgré toute cette violence, Vladimir n'en est pas pour autant une brute aveuglée par sa soif de sang (tout du moins, pas encore) et a le cœur sur la main, dans la mesure du possible : ayant rejeté les conventions sociales, elle préfère vivre selon ses idées à elle, quitte à devoir manger du pain sec pendant des jours pour pouvoir offrir à un être cher quelque chose à quoi il tient. Elle n'assume pas trop cette partie là de sa personnalité et se vexe quand on est trop affectueux ou protecteur envers elle. Elle se vexe aussi quand on la regarde de haut (ce qui n'est pas trop dur quand on fait plus d'1m66), quand on fait une remarque sur son style ou son comportement ou ses chaussures ou son blouson ou ses cheveux ou ses cornes ou son maquillage ou son teint, mais ce n'est pas tout, non ! Elle s'insurge également à la moindre impolitesse, mais aussi face aux gens trop polis parce que ça la met mal à l'aise, quand quelqu'un joue de la flûte près d'elle, de l'accordéon aussi, ou de la cornemuse, ou du piano, ou du violon des fois, quand on montre de la pitié envers elle, quand on la conseille, quand on lui envoie un message avec un smiley qui fait un clin d'oeil, ou qui tire la langue, ou qui rougit, quand on est trop familier avec elle, quand on l'est pas assez, quand on lui demande de faire à manger, quand on lui fait à manger...
MAYBE THEN I'LL FADE AWAY and not have to face the facts ღ Catégorie du Don : METAMORPHOSIS - prendre les traits du bélier ღ Description du Don : Physiquement, ça se traduit surtout par des cornes et par un teint un peu moins coloré. Concrètement, son don s'exprime également par une espèce de craquage complet à la moindre colère lorsqu'il s'active : car non contente d'en avoir les attributs les plus visibles, Vlad en retire également le tempérament. En gros, elle s'énerve, elle se penche en avant, et elle fonce, jusqu'à ce qu'elle ait tout cassé ou qu'elle tombe de fatigue. ღ Maîtrise du Don : Naze. Incapable de l'empêcher de s'activer, la russe passe la majeure partie de son temps avec deux cornes sur la tête et la tronche grise comme un bloc de béton, ou à donner des coups de boules dans des portes parce qu'elle n'a pas réussi à les ouvrir du premier coup. L'avis de la concernée ? Elle l'a à peine découvert, et il le saoule déjà.
ღ Sa relation avec les "Elementarist" : "Le contrôle du feu. DONNEZ-MOI LE CONTRÔLE DU FEU. J'ÉCHANGE CONTRE DES CORNES DE BÉLIER ALLEZ ! On peut faire plein de trucs avec. Promis." ღ Sa relation avec les "Physical" : Elle s'en fiche un peu, même si elle les envie aussi. ღ Sa relation avec les "Metamorphosis" : Vlad est actuellement PERSUADÉE de faire autorité parmi les métamorphes et d'être la plus costaud parce que vous voyez, elle a des CORNES. AIIGHT. ღ Sa relation avec les "Psychic" : Elle n'a pas d'avis... tant qu'ils restent loin.
IT'S NOT EASY FACING UP when your whole world is black Vladimir... Ce n'est pas le prénom qu'on m'a donné à la naissance : ce serait plutôt celui que je me suis offert, apparemment. Paraît-il que lors de mon adoption, lorsque mon futur Daron deuxième du nom me demandait comment je m'appelais, je courrais dans tous les sens en criant que j'étais Vladimir Dracula. Amusé, et probablement dans un de ses trips zen feng shui yin yang ou que sais-je, il a décidé que ça me resterait et m'a laissée choisir mon propre prénom. Comme quoi, même à sept ans je gouvernais déjà ma propre vie. D'accord, j'ai fini dans la merde, mais... C'était une merde que j'ai choisi. C'était immature, inconscient, ingrat, égoïste. Mais j'avais choisi ma vie de vagabonde galérienne, et parce que je l'avais choisie, parce qu'elle m'appartenait, je ne l'aurais lâchée pour rien au monde. Ça va maintenant faire huit mois qu'on m'a amenée sous le dôme suite à la catastrophe. J'ai utilisé leurs sous pour m'acheter une petite cabane pas super solide mais sympa quand même au détour d'une ruelle d'Emerald City. J'aime pas vraiment le concept d'avoir un pied-à-terre, mais j'en suis amoureuse, j'y peux rien. J'ai pas tellement changé, sinon, depuis. Enfin j'trouve pas. Et oui, j'ai probablement l'air assez stone au moment où je vous parle – mais disons que comme tous les guerriers, j'ai des périodes à vide pendant lesquelles je suis relativement calme, indifférente. Même si en général, chez moi, ça s'appelle dormir. T'façon ça va pas durer, juste le temps de parler un peu.
Anatolievna ? Non non, ce n'est pas mon deuxième prénom – en fait il n'y a pas d'équivalent dans votre culture, c'est mon patronyme... il indique que je suis la fille d'un mec qui s'appelle Anatole. Parce qu'en Russie, on va pas t'appeler « Madame Delej » pour être poli, on va t'appeler « Vladimir fille d'Anatole ». Et faut quand même avouer que ça pète. Même si je me rappelle plus d'Anatole, ni de Lioudmila. Je connais pas les détails de l'affaire, Daron et Daronne Iers m'ont raconté viteuf que dès qu'ils ont connu le sexe du bébé ils ont voulu me faire adopter et que tant qu'à faire, m'offrir de vivre aux Etats-Unis plutôt qu'en Russie serait mieux, quitte à me balancer à la naissance. Pas tout compris, mais bon, de toute façon, je les ai jamais tellement connus, alors c'est pas comme si ça m'intéressait... J'ai pas passé énormément de temps avec Daron I et sa femme, juste la petite enfance et j'ai été mise en orphelinat parce que ces deux cons s'étaient offerts le luxe d'un petit potager aux vertus relaxantes (si vous voyez de quoi je parle...) et, avec ça, le luxe des embrouilles judiciaires qui vont avec quand on a des voisins un peu trop curieux. Daron II m'a très vite adoptée, on a eu un bon timing, j'imagine. Il était sympa. Un peu taré mais sympa. Le genre de chinois qu'on voit que dans les films, qui parle par proverbes, a une maison rempli de décos du Nouvel An et qui vit dans un Chinatown. Sauf que comme Maître de Kung-Fu, c'est pas un métier qui fait vivre, monsieur travaillait dans un casino pas très loin, Vegas oblige. Je sais pas pourquoi ils ont laissé une caricature pareille m'adopter, mais j'm'en plaindrai pas. C'était sympa. Il a pris soin de moi. Le problème, c'est que j'ai un peu trop bien porté mon nom de famille sur ce coup.
Mon nom de famille. Delej. « L’œuvre de Lénine vit. » Non non, je me suis pas transformée en communiste activiste hein, pas que ça à branler, ho ! Non mais en fait, comme l'indique sa signification, c'est un nom de famille révolutionnaire. Un de ces noms de famille que les Russes se sont offerts avec leur 1917. Bref, retenez le côté révolutionnaire : ce que j'entendais par là, c'est que ma crise d'adolescence a été particulièrement violente. Je sais pas trop comment expliquer. J'étais là, j'étais bien, j'étais calme t'sais, normale et tout, et puis là, BIM, QUATORZE ANS, GO BERSERK. J'avais une vie relativement cool, et puis... Bah vous savez ce que c'est, un ado qui fait sa crise. J'en ai eu marre des gens, de la vie, du monde, du système, j'ai voulu tout plaquer, et Daron II m'a laissée faire, préférant me laisser faire mes erreurs par moi-même. Et tu parles d'une putain d'erreur. J'étais persuadée d'être libérée de la société. Les premiers mois, j'arrivai à me débrouiller pour trouver à manger de temps en temps et pour dormir pas trop mal - puis l'hiver est arrivé. J'ai voulu rentrer chez Daron II, mais l'appartement était désert, vide. Il restait quelques meubles, jetés à terre, pleins de poussière, des trous de balles dans les murs, des tâches estompées sur le parquet. Je me suis consolée en me disant que j'avais dû me tromper d'appartement, que ma vie ne devait probablement pas avoir autant basculé en à peine quelques mois, que j'avais pas pu tout gâcher comme ça avec ma soif de rébellion, qu'on se retrouverait demain, ou après-demain. Je l'ai revu le lendemain, souriant, dans un petit cadre, en noir et blanc, rubrique Nécrologie, sur un vieux journal. J'ai pas pleuré, j'ai pas regretté. J'ai grandi, et j'ai assumé la guerre dans laquelle je m'étais lancée toute seule. J'suis devenue comme on me voit encore dans la rue. J'ai pris cinq centimètres, deux tailles de soutien-gorges, j'ai appris à mordre, à faire l'amour américain, à haïr dans les langues slaves, à vivre comme j'étais et à rien céder à personne. Je sais pas ce qui est arrivé à Daron II, je sais pas si c'était de ma faute, s'il a voulu me protéger en me laissant partir, si c'était un coup du destin ou quoi. Je sais que j'suis en vie parce que j'ai eu la haine, et que personne me l'enlèvera jamais. J'me suis battue et j'arrêterai pas tant que j'en serai encore capable.
- Spoiler:
Comme c'est elle qui raconte et que cette partie là a été effacée de sa mémoire, je la met sous spoiler histoire de pas laisser ça dans le vide : oui, elle était fondamentalement contre l'idée de recevoir une quelconque aide d'une quelconque ONG et fait donc partie des gros malins qu'on a endormi et emmené pendant son sommeil. ... Nos amis les scientifiques ont d'ailleurs eu tout intérêt à ce qu'elle ne s'en rappelle jamais, et soyez rassurés, une telle catastrophe n'arrivera probablement jamais. C'est qu'on ne voudrait pas avoir à construire un dôme pour accueillir les survivants d'une catastrophe naturelle pour de vrai, hahaha.
cedant arma togae ; que les armes cèdent à la toge rolling stones > beatles
| ▬ Âge : 17 ans ▬ Pseudo : Cicéron ▬ Avatar : Damara Megido (Homestuck) ▬ Conscient du Règlement ? : oui oui, euh, 68. ▬ Comment avez-vous connu le forum ? : Par un topsite. ▬ Commentaire : ... j'étais super motivée par les attributs du bélier mais en fait à part les cornes je trouvais pas trop quoi mettre et je voulais rajouter un truc, donc je lui ai aussi offert LA FUREUR DU BÉLIER - j'espère que ça ira. | + : Et je voulais m'excuser d'avoir trop écrit et si jamais il y avait trop d'incohérences, j'étais tellement à fond sur Vlad et sur ce forum de ouf que dans mon enthousiasme, cette fiche doit un peu être un gros bazar dégueulasse. ++ : Et je voulais aussi m'excuser si j'avais l'air de faire genre "oué, vivre dans la rue, c'est trop cool !!" avec Vlad. C'est pas du tout ça hein ! Je voulais jouer un perso fier de vivre dans la marge et détaché de l'idée habituelle de bonheur en fait. PARDON, PAUVRES DE FRANCE ET DE PARTOUT. J'ESPÈRE QUE L'HIVER NE SERA PAS TROP DUR. (non, vous ne rêvez pas, je viens bien de m'excuser envers les sans domiciles fixes dans cette fiche, oui)
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